À l’époque, j’étais encore assez jeune et naïve pour croire que les garçons et les filles – plongés dans ces prémices d’indépendance que distillent la fac et le bouillonnement d’hormones conséquent – pouvaient rester « essentiellement amis ». Je résistais à l’envie de mettre une étiquette sur notre relation, mais je nous voyais comme des amis, et plus si affinités… mais non monogames, du moins de mon côté.