De tous côtés, je recevais des demandes, plus ou moins sérieuses, pour m'accompagner. Les journaliste m'assaillaient.
Parmi les lettres, se trouvaient parfois de charmantes ou baroques idées; l'un me proposait de s'embarquer dans un but purement culinaire: il nous autorisait à le manger en cas d'échec de l'expérience. Un autre m'avouait qu'il avait tenté trois fois de se suicider; il me demandait de partir avec nous, estimant que j'avais trouvé là un moyen valable.
Un troisième m'offrait sa belle-mère comme passagère me proposant de commencer mes efforts de sauvetage, en repêchant un ménage de l'abîme où il tombait par la faute de cette douce créature.