Les hommes de l'an mille, qui ont su préserver un héritage exceptionnel, ont laissé place à une génération nouvelle, mieux adaptée à la réalité de la fin du XIe siècle et au début du XIIe. Maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre, artistes et professionnels ont conçu et réalisé des œuvres qui relèvent d'une esthétique en rupture avec celle de Constantin : l'art roman. (page 49 - Chapitre II))