Avec l’automne et la chute des feuilles, on peut, dans un moment de désarroi, croire à une fin possible. Une partie de vous-même meurt chaque année lorsque les branches perdent leur parure et grelottent au vent. Mais avec le retour du printemps, quand les arbres reverdissent et que les pétales éclosent, on a le sentiment que rien ne meurt et que tout dure ou doit renaître.