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3.67/5 (sur 12 notes)

Né(e) : 1845
Mort(e) : 1924
Biographie :

Critique littéraire. - Romancier. - Linguiste. - Bibliographe. - Journaliste

Albert-Antoine Cimochowski, dit Albert Cim, né à Bar-le-Duc le 22 octobre 1845 et mort le 8 mai 1924, est un romancier, critique littéraire et bibliographe français. Né d'une mère française et d'un père officier polonais réfugié en France après l'insurrection de 1830, Albert Cimochowski entame à Paris en 1861 une carrière de fonctionnaire aux Postes et télégraphes et, sous le nom d'Albert Cim, débute dans le journalisme par des articles de philologie, de critique et de bibliographie qui sont vite remarqués. Parallèlement, il publie en librairie des ouvrages pour la jeunesse et des romans, qui lui valent d'être cinq fois lauréat de l'Académie française, ainsi que des études documentaires, littéraires et bibliographiques. En 1896, il devient bibliothécaire au sous-secrétariat d'État des Postes et des télégraphes. Il est également membre de la Société des gens de lettres, dont il est deux fois vice-président.



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Source : Catalogue de la BNF
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Tel est le sort de tout livre prêté,
Souvent il est perdu, toujours il est gâté ;
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Un autre principe, un axiome plutôt, que je tiens à rappeler tout d'abord, c'est celui-ci : on ne lit bien, on ne savoure convenablement et complétement un livre que s'il vous appartient, qu'à condition d'en être l'unique et absolu propriétaire.
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Le livre était autrefois le privilège presque exclusif de quelques grands signeurs, de fastueux surintendants ou cossus prébendiers, - des Grolier, des de Thou, des Letellier, des Colbert, Huet, Soubise, La Vallière, Paulmy, etc., - est aujourd'hui et depuis plus d'un siècle, affranchi, de ce pseudo-monopole, et tombé pour ainsi dire, dans le domaine public.
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Il a des maîtresses à tous les coins de rue, des filles qu’il couvre d’or ! Sans compter une actrice de Bordeaux qu’il a fait venir, qu’il entretient, qui lui coûte les yeux de la tête ! Il se ruine en diamants et en falbalas pour ces péronnelles, tout ce sérail ! C’est au point que sa femme s’est séparée de lui…
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Les filles du peuple pouvaient, à la rigueur, trouver bague à leur doigt, petit vigneron, ouvrier tisserand, trameur ou corsetier ; mais les « demoiselles » de la classe bourgeoise, les maigres héritières de tel ancien inspecteur des postes, tel ex-contrôleur des contributions ou agent voyer principal, de tel capitaine ou chef de bataillon en retraite… Ah ! ce n’était pas chose facile de les pourvoir !
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"Monastère sans livres, place de guerre sans vivres" déclare un proverbe de ce temps : Claustrum sine armario, quasi castrum sine armamentario.
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Albert Cim
Albert CIM / Récréations littéraires / Hachette 1920 [BnF]
« "J’applaudis des deux mains," lit-on dans une lettre de Victor Hugo, mentionnée dans Le Voleur du 28
février 1879 (p.141). "Je voudrais bien savoir, demande le rédacteur en chef de ce journal, comment M.
Victor Hugo s’y prendrait pour applaudir d’une seule main." »
< p.126 >
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Il y en a, des bossus, qui ne se doutent pas de leur conformation, qui, par conséquent, ne peuvent jamais avouer… Ah ! n’importe ! Bossue ! Elle que, d’après son portrait, j’avais crue si séduisante ! une perfection ! Non, ça ne se fait pas ! J’ai beau boiter, moi… Si elle n’était que boiteuse, passe encore ! Mais bossue ! bossue !
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Parce que, si je vous donne aujourd’hui, il faudra vous donner encore demain et tous les jours que Dieu fasse. Je ne pourrai plus passer dans cette rue sans que vous me poursuiviez… Je ne donne jamais en rue.
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En tous cas, il ne fallait pas tourner bride et détaler sans se revoir et se mieux expliquer. Que diantre ! on ne fait pas deux cents lieues pour toucher barre simplement et rebrousser chemin au galop.
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