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Citation de gloubik


À six heures un quart les opérations commençaient.
La mobilisation avait donc demandé une heure quinze minutes, ce qui était un beau résultat, le précédent essai ayant pris une heure dix-huit minutes.
Les officiers de l’escadre aérienne faisant virer leurs hélicoptères regagnaient rapidement leurs postes ; on vit aussi une nuée d’éclaireurs torpédistes à marche accélérée s’élancer en avant en décrivant une sorte d’éventail dans le ciel et disparaître bientôt perdus dans les lointaines vapeurs. Derrière, les grosses aéronefs, sur une seule ligne, dont les intervalles s’élargissaient de plus en plus de façon à embrasser le plus possible d’horizon, marchaient plus lentement, toutes prêtes à pivoter sur un point au premier signal, dès que l’escadrille ennemie serait aperçue.
Les forces terriennes pendant ce temps-là s’étaient ébranlées aussi, un train spécial du tube transportait quelques bataillons de mitrailleuses jusqu’au trentième kilomètre, où le tube était censé coupé par des éclaireurs ennemis.
Le premier contact était pris ; les éclaireurs repoussés, l’ennemi fut signalé en train de se concentrer à 16 kilomètres de là. Les bombardes roulantes électriques arrivant par les routes de terre à 10 h 45 commencèrent l’attaque en refoulant les bombardes ennemies. 
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