La solution de nombreuses névroses consisterait à rompre la relation avec les parents, mais peu de gens sont capables de s'y décider. S'ils sont conscients du mal qu'on leur a fait, ils continuent de subir à la fois leurs propres projections et la poursuite d'une relation basée sur la non-reconnaissance des abus : une partie d'eux persiste dans l'enfance. Ils attendent sans se l'avouer la mort de leurs parents pour devenir adultes tant il leur paraît impensable de couper les ponts avec eux.