Ce qui est particulier dans la mise sous emprise, c'est que les besoins d'un.e seul.e priment sur ceux de l'autre / des autres. Ses besoins sont imposés non pas forcément d'emblée par la menace ou la violence physique, mais plutôt en activant l'empathie de la victime. L'auteur.e se pose toujours en victime qui souffre immensément et notamment parce qu'il/elle aime par-dessus tout la victime.