Quelques jours plus tôt, Mariana était chez elle, à Londres.
Agenouillée par terre, au milieu des cartons, elle tentait à nouveau, sans enthousiasme, de trier les objets ayant appartenu à Sebastian.
Ça ne se passait pas bien. Un an après sa mort, la plupart de ses affaires restaient éparpillées dans la maison, dans divers cartons empilés, à moitié vides. Elle semblait incapable d’achever la tâche.