L’ironie qu’il y avait à être finalement devenue thérapeute de groupe ne lui échappait pas. Mais paradoxalement, cette ambivalence par rapport aux autres la servait. En thérapie de groupe, c’est le groupe, et non l’individu, qui est au centre du traitement : être un bon thérapeute de groupe, dans une certaine mesure, consiste à être invisible.
Mariana était douée pour ça.