Nous avons encore cette terre que nous appelons tous notre terre , ces acacias qui sont nos acacias , ce ciel qui est le nôtre parce qu'il a vu vivre nos mères et nos pères et les a ensuite accueillis en lui , qu'il leur a ouvert les bras quand il sont partis.....Nous avons toujours cela , si immense et effrayant puisse devenir le monde. (p 20 )