Irène soupira. Stuart n'avait pas saisi un mot de ce qu'elle venait de dire. Et il y avait aussi beaucoup d'autres choses qui le dépassaient. Elle adopta donc le ton qu'elle prenait pour expliquer des évidences à Bertie et ou à son mari, un ton professoral teinté de condescendance, évoquant le discours d'un homme politique cherchant à fuir ses responsabilités face à un échec.