Ce qui comptait pour elle, c’était l’œuvre d’art, ce témoignage moral qui aide à mener une vie plus digne d’être vécue et constituait pour elle le but ultime de l’art. Elle ne s’intéressait guère aux doutes et aux faiblesses susceptibles d’avoir engendré des poèmes qui formulaient une vérité universelle. C’est diminuer la force de la poésie que de diminuer la personne du poète.