Les nouveaux leaders, issus de la société civile agissante, parlent une langue intelligible par le peuple car elle n'élude pas les évidences qu'il perçoit. Il ne faut plus dire les « religions » quand tout le monde pense l'« islam » – non pour accabler l'islam mais bien pour l'accueillir fraternellement en le regardant tel qu'il est, avec ses brebis compliquées et les évolutions indispensables d'une certaine interprétation de l'islam.