Tu as raison je ne t’ai pas regardée cette nuit, mais ce matin si. Et je n’ai jamais été aussi heureux de voir quelqu’un parasiter mon lit. [...] je n’osais plus bouger parce que tu avais un bras passé autour de moi et je ne voulais pas que tu l’enlèves. Je n’ai jamais ressenti ça pour personne.
- Gabriel