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Que m'arrivait-il ? Je ne pouvais pas ressentir autre chose qu'une vague attirance physique envers cet individu grognon et taciturne, n'est-ce pas ? Je le détestais, même ! Il fallait que je me mette dans le crâne que faire confiance à une personne violente, qui avait déjà porté la main sur moi, était la dernière des bonnes idées. C'était idiot. J'étais désavantagée, ayant hérité d'un naturel confiant et bon, en tant que Iemanja. Il allait falloir que la deuxième moitié de mon patrimoine génétique se réveille et mette un bon coup de pied à l'autre.