Les livres qui ne se terminent jamais, qui commencent quand vous les refermez et que vous restez à regarder on ne sait où, comme le boxeur de la photographie, qui regarde comme si l'adversaire le guettait au-delà du ring et non dans le coin opposé, un point presque invisible dans la foule qui emplit les gradins du stade, ce mot juste, juste ce mot et aucun autre, jamais, qui recèle les clés pour mieux comprendre, mais jamais complètement, la détresse.