Aetahria : je suis coupable, c’est ma faute. Nous étions jeunes, Valério et moi. Il m’aimait et je l’excitais. Je me suis jouée de lui, les premiers temps, il était pauvre et j’étais pauvre aussi, et je lui racontais que je voulais être couverte de parures, vêtue de soie comme les femmes de Salerne. C’est du moins ce que j’ai dit. Ce que je voulais, je l’ignore. Je voulais seulement l’exciter.