DON PAEZ
Je n’ai jamais aimé pour ma part,ces bégueules,
Qui ne saurait aller au Prado toute seules,
Qu’une duègne toujours de quartier en quartier
Talonne,comme fait sa mule un muletier ;
Qui s’usent à prier,les genoux et la lèvre,
Se courbant sur le grès,plus pâles,dans leur fièvre,
Qu’un homme qui,pieds nus,marche sur un serpent