Je lui dis que ce n'est rien, mais je devrais la prévenir : garde tes distances, je ne me sens pas moi-même. A moins que ce ne soit finalement la vraie moi, cette personne qui se tient devant une amie et qui essaie de résister à la pulsion de lui faire mal, pour que la douleur soit partagée. Pour que je ne me sente plus si seule.