Le fait est que le métier ne demandait nullement qu’on se penche sur sa propre conception de l’érotisme, qu’on se demande, chacune pour soi, ce que l’on trouvait vraiment excitant, et de quelle façon on aurait pu l’adapter sur scène. Si un épanouissement personnel ou artistique apparaissait, il était purement fortuit, du moins il ne faisait pas partie des desseins du négoce : c’est ce qu’on appelle le travail.