La première chanson était un manifeste politique de colère. La seconde, un morceau touchant et drôle sur un chien errant. La troisième était le plaidoyer d’un homme amoureux, et Cyril l’ouvrit avec un riff de guitare renversant.v
Il chanta dans le microphone : « Viens t’asseoir avec moi – ici au soleil. Laisse-moi soulager ta douleur. Peut-être que je suis le bon. »