Je ne cache pas, en effet, qu'il y ait dans les annales de l'armée française, au cours de toute son histoire, de faits d'armes plus éclatants, ni plus sillonnés d'éclairs que celui accompli par le 4e tunisiens au Belvédère [en janvier-février 1944 lors de la Campagne d'Italie]. Le nom est aujourd'hui inscrit en lettres d'or sur son glorieux drapeau et il est déjà passé dans la légende comme un autre Sidi Brahim, mais un Sidi Brahim s'achevant en victoire.