(...); cette profonde et lente douleur qui s'insinue, boit la vie, laisse l'âme pareille à une pauvre terre moribonde; jusqu'au jour où, du mystère des dernières forces, s'élance sur sa tige imprévue le chardon incroyable et splendide qui est la fleur de ces désespoirs, comme les fougères phosphorescentes sont les végétations sans pareilles de la nuit des souterrains.
II. Chapitre I