Mes potes du collège m'ont toujours raconté que lorsque leurs frères et soeurs se prennent une tarte, ils ne peuvent pas s'empêcher d'en rire. Parfois ils en prennent une aussi pour la forme, juste parce qu'ils se sont moqués ; ainsi, une espèce de solidarité forcée se crée entre les enfants. Même si le bourreau assume son acte, il ne veut pas de complice.