En Inde comme ailleurs, les hommes ont droit à des renaissances répétitives.
Mais pas les femmes, en tout cas pas les femmes comme Veena, condamnées à une seule vie, dès la naissance. Aucune possibilité de rachat. Leur peau à elles ne peut être lavée, même pas après une plongée dans le Gange. Aucune d'elles ne nourrit l'espoir d'une vie meilleure : les dés, pipés dès le début, sont jetés.