Ses journées se déroulaient, vacillantes, semblables aux bougies d'un gâteau d'anniversaire. Le vent soufflait dessus, l'une après l'autre, mais plus temps passait, hélas, plus il y en avait, qui se rallumaient, têtues et douloureuses, au surgissement de chaque nuit. Si bien qu'à la fin de l'année, il ne restait plus qu'elles. Le gâteau, lui était consumé.