Je me suis aperçu alors que la littérature policière n'était une littérature inférieure que pour deux catégories de gens : ceux qui ne savent pas écrire et ceux qui ne savent pas lire. Il y a autant de puissance dramatique dans l'existence quotidienne de l'homme qui a tué, qui a été poussé par le destin, les circonstances, jeté vivant dans l'enfer, que dans toute l'histoire des Atrides. Qui donc n'a jamais senti en lui remuer Cain?