Fils de sénateur, Maximus Nigaudus - traduisez Grand Nigaud ou même Super Crétin, n'ayons pas peur des mots - rêve de devenir le plus grand héros romain de tous les temps. Il a du chemin à faire : taillé comme une allumette, petite âme sensible et vraiment pas futé.
Je ne sais pas pourquoi je m'étais imaginé que ce roman ressemblerait à l'excellente intrigue policière romaine 'L'affaire Caïus' (Henry Winterfeld). Rien de tel et j'ai déchanté dès les premières lignes. On est ici dans du complètement loufoque. Je me suis consolée en pensant lire à défaut une version latine du Journal d'un Dégonflé - même pas. L'humour est vraiment simpliste, lourd, très pipi-caca-prout-rot-vomi. A quelque chose malheur est bon : j'ai appris que l'urine, justement, était utilisée pour la lessive dans l'Antiquité, mais c'est à peu près tout ce qu'il y a d'intéressant à retenir, me semble-t-il.
Je serais curieuse de connaître l'avis de jeunes lecteurs sur ce roman.
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C'est une lecture bien sympathique. Elle mêle, avec réussite à mon avis, la tendance pour les romans dans le style "journal intime" et l'Histoire. Les personnages et les situations mêlent ces deux aspects assez brillamment.
Par contre, cela va ratisser moins large, je pense, que les "journaux intimes" modernes, qui souvent finissent par tous se ressembler. Dommage.
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Ave César, Nigaudus te salue !
Pardon, on ne rapporte pas une histoire pas sa fin/
Tout d’abord, il faudrait tout reprendre, la tentative d'assassinat de César, l'achat du nouvel ami Linos, les multiples épreuves pour devenir un gladiateur vrai de vrai avec Ventrus et le projet pédagogique de mosaïque de héros..
Sauf que Nigaudus ne semblait pas avoir de véritable meilleur ami de son âge et puis cet esclave grec, transporteur de bac à pipi, était la providence même. Toutefois, au début, Nigaudus était selon lui trop radin pour lui offrir cet esclave-là.
Des bacs de pipi ??
Une affaire de blanchisserie, vous verrez, chaque époque à ses petits secrets de Grand-Mère pour décrasser le linge.
Bref ! Ne nous éloignons pas du sujet principal, Nigaudus voulait devenir un héros.
A l'époque romaine de César, un héros périssait par l'épée ou tranchait la tête de leur adversaire sous les acclamations du public-laissons les lions de côté!-.
Admettons que Nigaudus, 12 ans de maladresse en tous genres, veuille persister dans son projet d'avenir de héros, gladiateur puisque c'est la situation qui s'en rapproche le plus dirait un conseiller d'orientation, il devra par force de sueur et d'efforts apprendre à manier...pardon, à tenir une épée et c'est pas rien !
L'occasion d'être un héros aux yeux de son père, plus valeureux que son grand frère Robustus, se présentera plus vite qu'il n'aurait pu l'espérer avec son maître d'armes. Ce tortionnaire de professeur-il est sévère mais félon aussi, il fallait s'y attendre- envisage d'occire autre chose qu'un poulet pour la journée.
Et pourquoi pas un Empereur ?
Hérésie ? Foi de Nigaudus Maximus, il va vous le prouver.
: Dans la même veine que les journaux intimes à succès en roman, « Tom Gates », « Journal d'un dégonflé » « Journal d'une grosse nouille » et autres « Origami Yoda », ce titre devrait faire l'unanimité.
Nigaudus Maximus est aussi un journal d'ado drôle et loufoque.
Sa particularité est de nous faire entrer dans l'histoire de Rome à l'époque classique.
Donc, tout en ricanant des pitreries non voulues de cet anti-héros qui tend à apprendre à porter la toge, à monter à cheval, qui peste sur le pipi et le vomi et se questionne sur la calvitie du grand César, les jeunes lecteurs seront bons pour une leçon d'histoire des plus divertissante sans le savoir.
L'auteur Tim Collins a collecté des éléments singuliers de la vie quotidienne qui ajouté aux péripéties de notre jeune ado nous amusent tout du long.
Les illustrations d'Andrew Pinder en regard de texte, en guise de note explicative, participent à l'humour potache et caustique à la fois des confidences et cela nous rend très léger de rire un bon coup.
Il y a dans ce premier tome tout ce qui fait le sel de ce genre plébiscité par les jeunes lecteurs, de quoi entrer dans l'Histoire en s'amusant et continuer d'entretenir le plaisir de lire pour les « petits lecteurs ».
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Nigaudus Maximus aimerait devenir un héros romain. Son père est sénateur, son frère un général. Mais Nigaudus porte bien son nom. Malingre, naïf, tout semble s'opposer à ses rêves de gloire. Sauf qu'un jour, il surprend une conversation : un complot contre Jules César se prépare. L'occasion pour Nigaudus de montrer sa valeur !
Roman original, non par le traitement - des journaux de loosers il y en a beaucoup - mais l'époque : l'empire romain.
C'est l'occasion pour le lecteur de découvrir les mœurs, us et coutumes des romains souvent déconcertants pour nous aujourd'hui (la relation à la nourriture, l'hygiène et le corps, les esclaves...). Ceci sous une forme humoristique.
Le texte très aéré, l'omniprésence d'illustrations souvent désopilantes, en font un roman à recommander notamment pour les lecteurs "récalcitrants".
Un bon moment de lecture donc.
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Je n'est pas trop aimé nigaudus maximus car c'est un peu comme une enquête. Ca se répète un peu car il dit souvent qu'il va faire des cours des cours de combat et que cela se passe mal. Son ami lui fait aussi beaucoup de farces donc cela se répète. Je conseille ce livre poure ceux qui aiment les enquêtes, les répétitions et les Romain
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Nigaudus, jeune romain de 12 ans rêve d'être un grand héro. Cependant, il est petit malingre, pas bien intelligent ... bref, tout le contraire de son grand frère Robustus, parti à la guerre.
Il barbe constamment son père pour qu'il l'entraine à devenir un grand guerrier mais sa maladresse devient légendaire et il finit par être pris en charge par Ventrus, ami de son père.
Cependant, un jour, il entend parler d'un complot visant à assassiner Jules César...
Un roman humoristique que je n'ai pas trouvé transcendant, d'un humour qui plaira surement aux plus jeunes, d'une écriture et d'une intrigue très simple.
Il n'y a pas grand chose à en dire si ce n'est qu'il sera accessible aux lecteurs réticents face à la lecture.
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Nigaudus est un ado sous l'empire romain. Un ado fan de gladiateurs qui a pour ambition de devenir un héros, comme son grand frère. Oui, mais ses parents ne souhaitent pas qu'il apprenne à se battre dans l'armée. Il va donc essayer de se distinguer autrement. un livre très illustré et résolument humoristique , qui fait bien sourire. une réussite !
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Ce livre est très drôle. J'ai bien aimé ce livre parce qu'il parle des choses qu'on ne sait pas sur les romains. C'est un journal intime d'un romain qui est un peu bête et très drôle.
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