[...] et peux-tu seulement imaginer toute ces dames nous observant pour leur divertissement, m'appelant la seconde femme et critiquant ma manière de recevoir?
Je n'ai pas le moins du monde envie de jouer à ce jeu-là, et ce n'est pas une position pour laquelle j'ai le moindre goût. Je ne peux pas vivre sans toi mais je ne peux rester ici.
Viens à Paris avec moi. Je t'attendrai sur le quai demain pour prendre le bateau de midi.
Avec toute l'adoration dont mon coeur est capable.