Citation de Kyrilya_Oristina
— Acceptez notre lien, insiste Lina en posant ses paumes sur mon torse pour tracer des motifs invisibles et aériens par-dessus ma chemise. Il y a quelque chose entre nous depuis le premier jour. Vous le sentez aussi, n’est-ce pas ? Ce courant électrique qui nous traverse de part en part dès que nous sommes dans la même pièce ? Nos palpitants qui s’emballent lorsque nos regards se croisent en cours ? Nos sens à l’affût et nos corps en fusion ? Je n’ai jamais éprouvé une telle chose pour un autre. Et je sais que vous me voulez autant que je vous veux…
Je secoue la tête malgré mon cœur qui s’affole sous sa main caressante. J’ai beau être d’un naturel combattif, cette peste insolente m’a percé à jour. Elle personnifie la tentation à l’état pur.
— Tu es trop jeune, réussis-je péniblement à grogner dans une demi-confession qui me râpe les cordes vocales.
— Ce n’est pas un argument recevable.
— Aux yeux du rectorat et de la justice, si.
— Rayan, s’il vous plaît…
Je me rigidifie de plus belle en l’entendant prononcer mon prénom pour la première fois, avec une sorte de détresse voilée, comme si elle souffrait de ma retenue. La bouche en cœur, elle semble m’implorer de ne pas la rejeter. J’ai recueilli ses syllabes sur mon doigt, qui n’a pas quitté la douce moiteur de sa bouche trop sexy pour ma santé mentale. Je le promène avec lenteur sur la courbe de sa lèvre supérieure, puis inférieure, que je rêve de pouvoir goûter. Je suis son gracieux arc de Cupidon et m’égare sur sa commissure. Son écrin de chair tendre s’entrouvre dans une invitation explicite. Je ne devrais pas faire ça, mais… je ne peux pas lutter contre cette pulsion. J’insère l’extrémité de mon majeur dans la bouche accueillante de mon élève. Une décharge érotique foudroie aussitôt mon sexe. Il grossit d’une voracité décadente tandis que mon doigt aventureux s’enfonce dans son antre, en caressant le centre de sa langue moelleuse. Sans une once d’hésitation, je loge l’intrus le plus loin possible en le regardant disparaître entre les deux pétales qui m’avalent avec une gourmandise assumée. La sensation d’être pleinement enveloppé à l’intérieur de sa chair enflée me grise. Sa chatte est-elle aussi chaude, satinée et humide que sa cavité buccale ?
Tenant toujours Lina par le cou, plaquée contre le mur devant moi, je retire mon majeur lubrifié avant de le renfoncer progressivement dans sa jolie bouche offerte.
Je secoue la tête malgré mon cœur qui s’affole sous sa main caressante. J’ai beau être d’un naturel combattif, cette peste insolente m’a percé à jour. Elle personnifie la tentation à l’état pur.
— Tu es trop jeune, réussis-je péniblement à grogner dans une demi-confession qui me râpe les cordes vocales.
— Ce n’est pas un argument recevable.
— Aux yeux du rectorat et de la justice, si.
— Rayan, s’il vous plaît…
Je me rigidifie de plus belle en l’entendant prononcer mon prénom pour la première fois, avec une sorte de détresse voilée, comme si elle souffrait de ma retenue. La bouche en cœur, elle semble m’implorer de ne pas la rejeter. J’ai recueilli ses syllabes sur mon doigt, qui n’a pas quitté la douce moiteur de sa bouche trop sexy pour ma santé mentale. Je le promène avec lenteur sur la courbe de sa lèvre supérieure, puis inférieure, que je rêve de pouvoir goûter. Je suis son gracieux arc de Cupidon et m’égare sur sa commissure. Son écrin de chair tendre s’entrouvre dans une invitation explicite. Je ne devrais pas faire ça, mais… je ne peux pas lutter contre cette pulsion. J’insère l’extrémité de mon majeur dans la bouche accueillante de mon élève. Une décharge érotique foudroie aussitôt mon sexe. Il grossit d’une voracité décadente tandis que mon doigt aventureux s’enfonce dans son antre, en caressant le centre de sa langue moelleuse. Sans une once d’hésitation, je loge l’intrus le plus loin possible en le regardant disparaître entre les deux pétales qui m’avalent avec une gourmandise assumée. La sensation d’être pleinement enveloppé à l’intérieur de sa chair enflée me grise. Sa chatte est-elle aussi chaude, satinée et humide que sa cavité buccale ?
Tenant toujours Lina par le cou, plaquée contre le mur devant moi, je retire mon majeur lubrifié avant de le renfoncer progressivement dans sa jolie bouche offerte.