p.91 "La perte de l'autre entraîne aussi la perte d'une partie de soi-même, de ce qu'on était avant la perte, la disparition ou l'amputation : une mère heureuse, un enfant confiant en la vie, une fiancée épanouie, un corps entier bien dans sa peau... Le travail de deuil... c'est reconnaître et accepter la perte et ses conséquences.
Tous les deuils ne se vivent pas de la même façon, chacun le fait à sa manière. tout dépend de la manière dont l'individu s'est construit, de la difficulté à vivre les premiers deuils de son existence, et du lien qui l'attachait au disparu."