Cette maladie de Charcot, en France, j'aurais eu l'obligation de la subir jusqu'au bout.
Des mots, des textes de lois posés sur des patients qui n'ont plus leur mot à dire dès que le médecin les jugent excessifs. Des voiles jetés sur la réalité des horreurs de fin de vie.
Mais un malade incurable n'a aucun devoir. Je ne nuis à personne en assumant mon choix, je ne fais aucun tort à ceux qui acceptent de vivre l'enfer.