Faire l’amour à Louise n’est pas apaisant, seul l’instant qui suit l’orgasme me précipite dans un abîme dans lequel je m’absente totalement amorphe, tombé aux portes du néant. Un assouvissement juste organique, un repos de vaincu alors que j’aurais voulu goûter à la victoire de la douce quiétude.