Elle consacre tout son argent de poche à l'achat de livres, elle en rapporte de nouveaux chaque fin de semaine, sans compter ceux qu'elle emprunte à la bibliothèque. Que faire , mon Dieu, pour abattre ces remparts de papier qu'elle dresse contre nous ? (...)
La vérité, c'est que Virginie nous fuit, elle se réfugie dans ses fictions pour mieux nous échapper et proclamer son absence. (p. 56)