— Vous n'êtes pas une vraie bibliothécaire, vous n'êtes qu'un... qu'un monstre ! cria Suzanne.
La vieille femme se figea, surprise.
— Vous laissez les livres moisir ici ! Si vous étiez une vraie bibliothécaire, vous en prendriez soin, vous accepteriez que les gens les empruntent ! Un livre qui n'est jamais lu, c'est un livre mort ! Aucune vraie bibliothécaire ne ferait mourir des livres ! [...]