Après avoir lu les deux premiers tomes de la Trilogie d’une nuit d’hiver de Katherine Arden qui parlent de contes russes, j’ai eu très envie d’en savoir plus. Découvrir toujours plus de contes est quelque chose que j’adore et comme je suis tombée sous le charme du folklore russe, j’ai retrouvé un livre dans ma bibliothèque…
J’avais reçu le livre Contes russes – Les fileuses d’or dans ma première box livresque qui ne m’avait pas du tout convaincue à l’époque mais j’avais tout de même gardé le livre sans jamais le lire. Comme quoi j’ai bien fait !
Je pense qu’avec celui-ci, je n’ai fait qu’effleurer l’imaginaire russe mais je peux déjà dire qu’il est bien cruel et bien sombre. On tue ses proches et ses amis par jalousie, pour parfois une simple pomme brillante. Mais c’est souvent la cruauté des contes qui est le plus intéressant.
J’ai aussi remarqué quelques ressemblances avec les contes que l’on connait par chez nous, dont Raiponce, Peau d’Âne ou encore la Belle et la Bête un peu pour le début de l’histoire qui y ont une même base. Les oiseaux ont aussi une grande importance dans les histoires, comme pour L’Ours et le Rossignol en fait. Les oiseaux sont souvent porteurs de sages paroles et conseils. Je me demande si c’est de là que Benoît Feroumont, auteur et dessinateur de la bande dessinée Le Royaume, a trouvé son inspiration pour ses oiseaux (qui sont moins porteurs de sagesse ceci dit !) ? ^^
Bref, Contes russes – Le fileuses d’or est un recueil de contes choisis par Anne-Marie Passaret qui fut bien sympathique à lire. Il y a encore plein de choses à découvrir sur ce folklore, j’en suis persuadée, et je ne compte pas m’arrêter là car je suis très curieuse d’en apprendre plus. D’ailleurs si vous avez des suggestions, n’hésitez pas à m’en parler !
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