Tout le monde, en revanche, s’accordait sur un point : ce jeune prodige maîtrisait, à l’aube de ses dix ans, l’ensemble des techniques. Fusain, gouache, acrylique, sanguine, autant de possibilités qui lui avaient permis d’exprimer son abyssale souffrance. Son coup de pinceau laissait exploser une symphonie de couleurs parfaitement orchestrée.