À présent, chaque partie du chemin lui est familière, il reconnaît dans toutes ses nuances la sonorité des flots. Quand ils atteignent le chemin qui mène au ravin, Omeir se tourne vers la fille : frêle et crasseuse, la peau striée d'éraflures, elle traîne les pieds dans sa robe en loque. Depuis le commencement, songe-t-il, je ne parle pas la même langue que mes compagnons préférés.