les contradictions et violences interindividuelles actuelles ne découlent pas de la misère du monde, l’élimination des inégalités sociales ne crée pas ipso facto un monde homogène, non conflictuel, où les tensions interindividuelles (et leur dérapages possibles en violences, en micro-oppressions, en brutalités volontaires) auraient disparu, sauf résultat de maladies mentales