La misère du pays d'Ambert n'avait rien à envier à celle des pays les plus déshérités, mais il était malséant d'en parler dans les livres et les journaux français. La France et sa vie sociale était entre les mains d'une bourgeoisie éclairée, consciente de ses devoirs et, partant, disposée à prendre en considération l'extrême misère, mais non à en permettre la dénonciation dans le pays même dont elle se voulait responsable.
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