OSSIP : Je rentre chez moi... Chez moi, c'est la terre pour plancher, et le ciel pour plafond et, les murs et le toit, on les verra jamais... Celui qui porte la malédiction de Dieu, c'est dans cette maison-là qu'il crèche. [...] Ce qu'elle a de bien, c'est qu'on paie pas le foncier...
Acte II, tableau 2, Scène 1.