Une autre fois, il attacha Sakiko sur un volet et la fit flotter sur la rivière
qui coulait derrière la maison. Sakiko était particulièrement belle.
Ses cheveux étaient mouillés et son kimono collait à sa peau.
L'eau froide venant de la montagne serrait le fin cordage de chanvre.
On eût dit un camélia vermillon flottant puis disparaissant au fil de la rivière.