Maos Oei [...] savait à quel point il était passionné, drôle capable de porter le même intérêt à la poésie comique, à l'illustration d'un livre de cuisine où à de truculents ébats érotiques. Elle le savait amoureux fous de la vie et du genre humain. Elle connaissait aussi son immense orgueil, qui lui faisait préférer la misère aux compromissions, ses colères, lorsqu'un dessin lui résistait, et ses fous rires lorsqu'il était de bonne humeur.