Saisir le monde par le biais de la littérature, c'est comme embrasser une femme de dos. Se glisser silencieusement derrière elle, la sentir contre soi, chaude, vivante. Deviner le désir qu'on réveille au creux de ses reins. Ne rien voir, dehors, tellement la sensation est forte.
On peut fermer les yeux sans baisser les paupières.