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4.15/5 (sur 115 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Avril Rose a fait des études de droit et exerce actuellement la profession de juriste.

Auteure de romance, "Challenge Me" (2017) est son premier livre.

Mariée et mère de deux enfants, elle habite dans une petite ville de province.

page Facebook : https://www.facebook.com/Avril.Rose.auteure/
Instagram : http://liveinstagram.net/User/avril_rose_auteure/6056097418/

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Sienna ? Amant idéal? ou manipulateur ? d'Avril Rose : https://www.amazon.fr/Sienna-Amant-manipulateur-Histoire-int%C3%A9grale-ebook/dp/B07D4MPC6R/ref=sr_1_1?s=amazon-devices&ie=UTF8&qid=1531731719&sr=8-1&keywords=sienna+amant+ou


Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Je l'embrasse avidement sur les lèvres, enfin apaisé. Elle est là, mon âme sœur, mon avenir.
- Je t'aime, Olivia.
J'ai peur de souffrir mais j'ai décidé d'affronter cette peut et de prendre le risque d'être heureux. Heureux avec elle.
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Nous nous sommes promis de passer l'éternité ensemble. Qu’espérer de plus ?
J'ai confiance en nous pour tenir cette promesse incroyable.
Parce qu'il est l'homme de ma vie.
L'effet Liam.
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– Je veux sortir d'ici tout autant que la liberté me fait peur.

Je réfléchis quelques instants.


– Ici, on me dit quoi faire, comment le faire et à quelle heure le faire. J'ai perdu tous mes repères. Et comment me reconstruire ? Dès que les gens sauront pour mon passé, ils auront peur de moi. Et même s'ils croient en mon innocence, ils auront toujours une petite voix pour leur dire « et si c'était vrai ? ».


– C'est normal que tu aies peur. Ça fait partie du processus. Tu es une femme forte, bien plus forte que tu ne le penses. Tu auras de l'aide quand tu sortiras. Chaque chose en son temps. Des associations sont là pour aider les anciens détenus : ça commencera par un logement puis par un travail. Des amis, tu t'en feras, je ne me fais aucun doute là dessus.


Ses paroles me réchauffent le cœur et me redonnent confiance, comme d'habitude. J'ai beau avoir gagné en force, mentale comme physique, les doutes prennent vite l’ascendant. Mes moments avec Patty sont pratiquement les seuls pendant lesquels je m’autorise à analyser mes émotions. Le reste du temps, je les balaye d’un revers de la main pour redevenir cette enveloppe vide et me concentrer sur mon unique projet d’avenir.


– Tout cela est tellement injuste, finis-je par déplorer, amère.

– Je sais, ma jolie, je sais.

– Ils auraient dû me protéger. Après tout ce qu’il m’a fait subir. Au lieu de cela, ils m’ont déclarée coupable. Coupable, répété-je.


Je plante mon regard bleu dans le sien et sans ciller reprends ma litanie habituelle.

– Aux yeux de la Justice, je ne suis pas la victime mais le bourreau. Comment Antoine aurait-il pu faire une chose pareille, hein ? C’est forcément elle, Sienna Marcelly, cette petite blonde qui semble si fragile psychologiquement et si…instable. La Justice fait un travail d’amateur, elle ne cherche pas à connaître la vérité pure, elle n’a pas le temps pour cela. Mais moi, j’ai tout mon temps. La vérité éclatera tôt ou tard, même si je dois y laisser ma vie. Je ne pourrais pas vivre en paix tant qu’il sera impuni. Tant qu’il sera libre. Parce qu’il aura toujours, d’une manière ou d’une autre, une emprise sur moi.


– Je comprends ce que tu ressens, Sienna. Mais ça ne résoudra rien. Si seulement tu t’en rendais compte.

– Il m’a tout pris. Et je l’ai laissé faire pendant tant d’années. Je n’ai plus rien à perdre, Patty.

– Si ! Ton avenir !
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Un torrent d'émotions me submerge : le soulagement de m'être trompée sur Liam, l'impatience de la revoir enfin, l’envie de me blottir contre son torse, bien au chaud dans ses bras.
Subitement, la peur m'assaille. Et s'il me pardonnait pas les paroles cruelles que je lui ai proférées ?
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Tout en moi l'invite à me rejoindre : mes yeux, ma bouche, mon souffle, mon corps. Tout en faisant non de la tête, il entre dans l'ascenseur et appuie sur le bouton de fermeture. Il prend délicatement plusieurs secondes, il presses ses lèvres contre es miennes. Je lui rends son baiser avant qu'il ne rompe le sien. Puis tout s'accélère. Il me cale contre le fond de l'ascenseur, introduisant sa langue dans ma bouche. Je plonge mes mains dans ses cheveux et savoure cet instant plein de passion et de tendresse. Je l'entends gémir de plaisir.
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Au lieu de cela, je lui ai fait l'amour, au vrai sens du terme. Une première pour moi. Et le comble, c'est que la seule chose dont j'ai envie, là, maintenant, c'est de rester avec elle...
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Je n'y crois pas... Je m'attends presque à les entendre tous scander dans la salle "Une autre ! Une autre !", comme les rappels à la fin des spectacles. La dernière fois qu'Harvey et moi nous sommes parlé, ça a fini en pugilat. Il a envie qu'on s'étripe de nouveau ou quoi ?
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J’ai réalisé que j’avais besoin d’elle lorsque j’ai compris que je l’avais perdue. Quelle ironie!
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Moi, entourée de parfaits inconnus, censée les écouter parler d'eux, de leurs blessures, de leurs démons. J'avoue qu'une partie de moi admire l'homme qui vient d'oser prendre la parole, sans se soucier du qu'en-dira-t-on. Mais l'autre partie trouve ça pathétique.
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Pauvre imbécile. Est-ce que tu as la moindre idée de ce que nous, victimes de « violences conjugales » comme vous aimez les stigmatiser, subissons ? Ressentons ? Sais-tu que la peur est le seul sentiment que nous portons en nous ? Enfin non, pas le seul. Il y a la culpabilité aussi. Parce que nous finissons par nous persuader que les insultes qu’on nous sert jour après jour sont vraies. Et que nous sommes coupables de ce que nous subissons. Ça s’appelle l’emprise psychologique, abruti. C’est d’ailleurs à cause de cette foutue emprise que peu d’entre nous parviennent à franchir le cap de la plainte, lecap de la dénonciation. Et que parmi ce nombre infime, la plupart rebrousseront chemin.
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