Une femme n'avait le droit de connaître qu'un seul homme dans sa vie — son mari légitime. Les femmes qui n'étaient pas mariées n'avaient pas le droit d'approcher les hommes. En revanche, les hommes étaient autorisés à avoir autant d'épouses et de concubines qu'ils pouvaient en entretenir, et ce en vertu du vieil adage qui disait que «la théière ne saurait se contenter d'une seule tasse ».