Les disparitions d'enfants, c'est toujours difficile. Bien sûr, un homicide, ça reste toujours une sale histoire, mais au moins le pire a-t-il déjà eu lieu - la victime ne peut pas mourir davantage. Avec les enlèvements, c'est comme un compte à rebours dont on n'apprend l'heure butoir qu'au moment où il est trop tard.