La jouissance les avait tellement secoués qu’elle les avait laissés tremblants, coupés du reste du monde. Il y avait eu un temps indéfini. Leurs souffles avaient ralenti peu à peu, puis la réalité avait repris lentement son espace, leur raison avait dominé leur corps. Germaine avait pris conscience de son accueil sans retenue et l’avait jugé indécent. Leur étreinte s’était achevée aussi brusquement qu’elle avait commencé.