Nous nous mîmes en marche. L'église sonna 9 heures. Le calme du village, le claquement sec du bâton d' Arthur sur la route, tout cela dégageait une atmosphère irréelle. Il n'y avait pas un chat dans les rues, rien juste nous qui traversions un village fantôme, poussé par un vent venu d'Orient qui semblait avoir légèrement fraîchi depuis mon arrivée.